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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 13:15
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20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 11:07
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14 janvier 2010 4 14 /01 /janvier /2010 11:34

Bruno Gröning

Conférence de Bruno Gröning à Springe le 5octobre 1958 1/2
Conférence de Bruno Gröning à Springe le 5 octobre 1958 2/2

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24 décembre 2009 4 24 /12 /décembre /2009 19:11

Claire Voyance Gratuite:
41699325-copie-1.jpg

Pour éviter les plaisanteries et pour recevoir une Claire Voyance Gratuite, il vous est demandé de transmettre votre numéro de téléphone fixe et votre Prénom.. Je vous contacterai moi-même pour un rendez-vous téléphonique, afin de faire le constat de votre situation:
Veuillez envoyer ces renseignements par mail à  COMENVABIEN

 
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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 14:03
Joyeux Noël
J'aimerai vous faire ce petit cadeau, ou plutôt vous transmettre
le cadeau de Omraam Mikhaël Aïvanhov.
Joyeux-Noel.jpgJe souhaite que cette pensée, devienne Votre Vérité.
                                                                 Comenvabien


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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 00:32

L'homme de bien.

Le véritable homme de bien est celui qui pratique la loi de justice, d'amour et de charité dans sa plus grande pureté. S'il interroge sa conscience sur ses propres actes, il se demande s'il n'a point violé cette loi ; s'il n'a point fait de mal ; s'il a fait tout le bien qu'il a pu ; s'il a négligé volontairement une occasion d'être utile ; si nul n'a à se plaindre de lui ; enfin s'il a fait à autrui tout ce qu'il eût voulu qu'on fît pour lui.

Il a foi en Dieu, en sa bonté, en sa justice et en sa sagesse ; il sait que rien n'arrive sans sa permission, et il se soumet en toutes choses à sa volonté.

Il a foi en l'avenir ; c'est pourquoi il place les biens spirituels au-dessus des biens temporels.

Il sait que toutes les vicissitudes de la vie, toutes les douleurs, toutes les déceptions, sont des épreuves ou des expiations, et il les accepte sans murmures.
L'homme pénétré du sentiment de charité et d'amour du prochain fait le bien pour le bien, sans espoir de retour, rend le bien pour le mal, prend la défense du faible contre le fort, et sacrifie toujours son intérêt àla justice.

Il trouve sa satisfaction dans les bienfaits qu'il répand, dans les services qu'il rend, dans les heureux qu'il fait, dans les larmes qu'il tarit, dans les consolations qu'il donne aux affligés. Son premier mouvement est de penser aux autres avant de penser à lui, de chercher l'intérêt des autres avant le sien propre. L'égoïste, au contraire, calcule les profits et les pertes de toute action généreuse.

Il est bon, humain et bienveillant pour tout le monde, sans acception de races ni de croyances, parce qu'il voit des frères dans tous les hommes.

Il respecte en autrui toutes les convictions sincères, et ne jette point l'anathème à ceux qui ne pensent pas comme lui.

En toutes circonstances la charité est son guide ; il se dit que celui qui porte préjudice à autrui par des paroles malveillantes, qui froisse la susceptibilité de quelqu'un par son orgueil et son dédain, qui ne recule pas à l'idée de causer une peine, une contrariété, même légère, quand il peut l'éviter, manque au devoir de l'amour du prochain, et ne mérite pas la clémence du Seigneur.

Il n'a ni haine, ni rancune, ni désir de vengeance ; à l'exemple de Jésus, il pardonne et oublie les offenses, et ne se souvient que des bienfaits ; car il sait qu'il lui sera pardonné comme il aura pardonné lui-même.

Il est indulgent pour les faiblesses d'autrui, parce qu'il sait qu'il a lui-même besoin d'indulgence, et se rappelle cette parole du Christ : Que celui qui est sans péché lui jette la première pierre.

Il ne se complaît point à rechercher les défauts d'autrui ni à les mettre en évidence. Si la nécessité l'y oblige, il cherche toujours le bien qui peut atténuer le mal.

Il étudie ses propres imperfections, et travaille sans cesse à les combattre. Tous ses efforts tendent à pouvoir se dire le lendemain qu'il y a en lui quelque chose de mieux que la veille.

Il ne cherche à faire valoir ni son esprit, ni ses talents aux dépens d'autrui ; il saisit, au contraire, toutes les occasions de faire ressortir ce qui est à l'avantage des autres.

Il ne tire aucune vanité ni de sa fortune, ni de ses avantages personnels, parce qu'il sait que tout ce qui lui a été donné peut lui être retiré.

Il use, mais n'abuse point des biens qui lui sont accordés, parce qu'il sait que c'est un dépôt dont il devra compte, et que l'emploi le plus préjudiciable qu'il en puisse faire pour lui-même, c'est de les faire servir à la satisfaction de ses passions.

Si l'ordre social a placé des hommes sous sa dépendance, il les traite avec bonté et bienveillance, parce que ce sont ses égaux devant Dieu ; il use de son autorité pour relever leur moral, et non pour les écraser de son orgueil ; il évite tout ce qui pourrait rendre leur position subalterne plus pénible.

Le subordonné, de son côté, comprend les devoirs de sa position, et se fait un scrupule de les remplir consciencieusement. (Ch. XVII, nº 9.)

L'homme de bien, enfin, respecte dans ses semblables tous les droits que donnent les lois de la nature, comme il voudrait qu'on les respectât envers lui.

Là n'est pas l'énumération de toutes les qualités qui distinguent l'homme de bien, mais quiconque s'efforce de posséder celles-ci est sur la voie qui conduit à toutes les autres.

                                     extrait du livre "L'evangile selon le Spiritisme", Chapitre XVII

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4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 13:26
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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 01:01

Le Chemin de la Santé Parfaite

Ce qui est transmis là revêt une particulière importance. L'état de Santé Parfaite est un état "enviable" à tous égards... Qui ne souhaite, pour lui-même comme pour les siens, une rayonnante Santé de l'âme et du corps? ("Mens sana in corpore sano!")

Ce qui est là offert est, en effet, la réponse fondamentale à une ou des questions que se pose tout être humain pensant, dès lors où il commence à s'interroger sur la Vie et l'Univers et aussi à réfléchir par lui-même..., donc depuis l'époque de l'adolescence.

C'est la réponse que beaucoup auraient bien aimé connaître depuis l’époque où, ainsi que le jeune Siddharta Bouddha, ils ont eu la possibilité de voir le monde et les êtres humains comme ils sont: accablés par la souffrance, la maladie et la mort, et qu'ils se sont alors nterrogés: Pourquoi la maladie? Pourquoi la souffrance? Comment y remédier?

Beaucoup ressentent, en effet,  plus ou moins clairement ou plus ou moins confusément, depuis «toujours», qu’il doit bien y avoir une relation précise entre le mal et la maladie…, mais les choses semblent quand même se présenter avec une certaine "complexité", puisque, pour autant que l'on puisse en juger, l’on voit souvent de bons êtres humains tomber malades, alors de mauvais êtres humains semblent constamment jouir d’une bonne santé…

Le mystère se devait donc d'être éclairci

Avec la découverte des travaux du Docteur Ryke Geerd Hamer  mentionnant le fameux "choc psychique vécu dans l'isolement" il y avait déjà là de solides éléments d’explication dignes d’être pris en considération. Merci à ce nouveau "Galilée de la Médecine"!

Mais cela ne donnait pas encore de réponse à la question : Pourquoi le même événement génère-t-il une maladie chez l'un et non chez l'autre? La question fondamentale subsistait: "Pourquoi cet être humain-ci "tombe"-t-il malade plutôt que celui-là?"...

C'est ainsi que la quête devait se poursuitvre jusqu'à  enfin trouver "le fin mot de l'histoire"... Chaque personne sérieusement malade est-elle une simple victime d'un sort arbitraire ou sa responsabilité personnelle est-elle engagée dans le fait d'être malade? Est-on responsable de sa maladie? Est-on responsable de tout ce qui nous arrive?

Et si c'était oui, alors ne faudrait-il pas ...

 

« Voici les Miracles qui accompagneront  ceux qui auront cru :

        en Mon Nom, ils chasseront les démons. »

       - Jésus de Nazareth –

         (Marc XVI, 17)

 

       RECONNAITRE

       POUR GUERIR

         Introduction au Chemin de la Santé Parfaite

 

 

               Pour recevoir le book Faîtes un Don.

 

 

 

 

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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 20:45
Khalil GIBRAN, Le Prophète

"Sur le Don"                                  



Alors un homme riche dit : "Parle-nous du Don".

Et il répondit :

"Toujours maigre restera le don de la main.

Le don du coeur est le véritable bien.

Que sont vos biens, sinon  des choses que vous gardez et défendez, par crainte du besoin du lendemain ?

 

Et demain, qu'apportera demain au chien si prudent qu'en suivant les pèlerins vers la cité sacrée, il enterre des os sans repères dans le sable du désert ?

Qu'est-ce que craindre de connaître le besoin, sinon vivre dans le besoin ?

Redouter d'haleter de soif, alors que votre puits regorge à foison, n'est-ce pas jamais savoir boire jusqu'à plus soif ?

Il y a ceux qui donnent peu de leur abondance - et ils le donnent pour le plaisir d'en recevoir la reconnaissance mais leur désir caché corrompt leur don.

Et il y a ceux qui ont peu, et le donnent entièrement.

Ceux-ci croient en la vie et en la bonté de la vie, leur fond n'est jamais vide.

Il en est qui donnent avec joie, et cette joie est leur récompense.

Et il en est qui donnent avec peine, et cette peine est leur baptême.

Il en est aussi qui donnent sans souffrir d'une peine, ni quérir une joie, mais encore sans être conscients de cette vertu;

Ceux-là donnent à l'instar de ce myrte qui exhale sa fragrance là-bas, dans les airs de la vallée.

A travers le geste de leurs mains, Dieu nous parle et sourit à la terre du fond de leurs prunelles.

Il est bien de donner à qui quémande, mais il est mieux de donner sans qu'on vous le demande, par compréhension ;

Et celui qui a le coeur sur la main en quête de celui qui est giflé par la main du destin,

Eprouve dans sa recherche une joie encore plus sublime que lorsqu'il fait don de ses biens.

Sauriez-vous réellement conserver à jamais ne fût-ce qu'un seul de vos biens ?

Tout ce que vous possédez, un jour ou l'autre, sera cédé;

Donnez donc maintenant afin que la moisson de votre don soit la vôtre, et non pas celle de vos héritiers.

Vous dites souvent : "Je donnerais volontiers, mais seulement à ceux qui en sont dignes".

Ce n'est point ce que disent les arbres de vos vergers, ni les troupeaux de vos pâturages.

Ils donnent afin de vivre, car retenir c'est pire.

Celui qui a été digne de recevoir le don de rester en vie, le long de ses jours et de ses nuits, est aussi digne de recevoir tout autre don émanant de vous.

Et celui qui a mérité de boire à l'océan de la vie, mérite de remplir sa coupe à votre ruisseau.

Est-il un mérite encore plus grand que celui qui réside dans le courage et la confiance, dans la charité même, de recevoir ?

Au nom de qui pourriez-vous contraindre les gens à se déchirer la poitrine et à se dépouiller de leur dignité,

Afin de vous laisser voir la mise à nu de leurs valeurs et leur fierté sans pudeur ?

Veillez d'abord à mériter de donner, et d'être l'instrument du don.

Car en vérité c'est la vie qui donne à la vie - et vous qui croyez être la source du don, vous n'en êtes que témoins.

Quant à vous qui recevez - et vous tous vous recevez - que la reconnaissance ne vous pèse guère, sinon vous risqueriez d'imposer un joug à vous-même et à vos bienfaiteurs.

Elevez-vous plutôt ensemble, comme si leurs dons étaient des ailes;

Etre trop soucieux de vos dettes, c'est douter de leur générosité qui a la terre magnanime pour mère, et Dieu pour père".

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29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 14:13
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