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3 janvier 2012 2 03 /01 /janvier /2012 00:44

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30 décembre 2011 5 30 /12 /décembre /2011 10:24

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20 décembre 2011 2 20 /12 /décembre /2011 13:50

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25 août 2011 4 25 /08 /août /2011 11:37
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14 août 2011 7 14 /08 /août /2011 01:34
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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 13:19
"Les opinions, les croyances, les points de vue que les parents
s’efforcent de transmettre à leurs enfants ne sont pas toujours
les meilleurs, c’est entendu. Mais quand les enfants critiquent
leurs parents en se montrant durs et insolents, est-ce qu’ils ont
trouvé la bonne attitude ? Non. Même s’ils découvrent un jour
qu’ils ne peuvent pas se fier complètement à leurs parents, cela
ne les autorise pas à les mépriser. Qu’ils ne suivent pas leur
exemple, qu’ils n’acceptent plus leur philosophie, ils en ont le
droit ; mais ils ne doivent pas les rejeter.
Et cette règle est aussi valable en dehors de la famille. Ne pas
être du même avis que quelqu’un ne vous donne pas le droit de
le rejeter, au contraire. Puisque d’après vous il est dans l’erreur,
c’est une raison supplémentaire pour être bon et compréhensif
avec lui. Mais à l’intérieur d’une famille cette règle s’impose :
même en désaccord avec leurs parents, rien ne doit empêcher
les enfants de continuer à les respecter et à les aimer."
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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 18:30

charlie-chaplin

Le jour où je me suis aimé pour de vrai

(texte de Charlie Chaplin)


 Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.

 Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité.

 Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité.

 Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect.

 Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre.

 Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.

 Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité.

 Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude.

 Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.

 Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les étoiles.

 

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9 avril 2011 6 09 /04 /avril /2011 00:19
Rôle et nécessité de la souffrance

 

La souffrance est un phénomène d'une telle ampleur, d'une telle gravité, qu'il est extrêmement délicat de l'aborder tant à ceux qui, n'éprouvant aucune sensation de souffrance, la craignent et en écartent le spectre, qu'à ceux en proie à la douleur, hantés par le seul désir d'obtenir un apaisement.

La douleur physique est, le plus souvent, un avertissement de la nature, qui cherche à nous préserver des excès. Sans elle, nous abuserions de nos organes au point de les détruire avant l'heure. Lorsqu'un mal dangereux se glisse en nous, qu'adviendrait-il si nous n'en ressentions pas aussitôt les effets désagréables ? Il gagnerait de proche en proche, nous envahirait et tarirait en nous les sources de la vie.
Et même lorsque, persistant à méconnaître les avis répétés de la nature, nous laissons la maladie se développer en nous, celle-ci peut être encore un bienfait si, causée par nos abus et nos vices, elle nous apprend à les détester et à nous en corriger. Il faut souffrir pour se connaître et pour bien connaître la vie.
Epictète disait : " C'est un faux langage de prétendre que la santé est un bien, la maladie un mal. User bien de la santé est un bien ; en user mal est un mal. User bien de la maladie, c'est un bien ; en user mal est un mal. On tire le bien de tout, et de la mort même. "

La douleur, sous ses formes multiples, est le remède suprême aux imperfections, aux infirmités de l'âme. Sans elle, pas de guérison possible. De même que les maladies organiques sont souvent le résultat de nos excès, les épreuves morales qui nous atteignent sont la résultante de nos fautes passées. Tôt ou tard, ces fautes retombent sur nous, avec leurs conséquences logiques. C'est la loi de justice, d'équilibre moral. Sachons en accepter les effets, comme nous acceptons les remèdes amers, les opérations douloureuses qui doivent rendre la santé, l'agilité à notre corps. Alors même que les chagrins, les humiliations et la ruine nous accablent, subissons-les avec patience. Le laboureur déchire le sein de la terre pour en faire jaillir la moisson dorée. Ainsi, de notre âme déchirée surgira une abondante moisson morale. Ce n'est donc pas par vengeance que la loi nous frappe, mais parce qu'il est bon et profitable de souffrir.

Le premier mouvement de l'homme malheureux est de se révolter sous les coups du sort. Mais, plus tard, quand l'esprit a gravi les pentes et qu'il contemple l'âpre chemin parcouru, le défilé mouvant de ses existences, c'est avec un attendrissement joyeux qu'il se souvient des épreuves, des tribulations à l'aide desquelles il a pu gagner les plus hauts sommets.
Si, aux heures d'épreuves, nous savions observer le travail intérieur, l'action mystérieuse de la douleur en nous, en notre moi, en notre conscience, nous comprendrions mieux son oeuvre sublime d'éducation et de perfectionnement. Nous verrions qu'elle frappe toujours à l'endroit sensible. La main qui dirige le ciseau est celle d'un artiste incomparable ; elle ne se lasse pas d'agir jusqu'à ce que les angles de notre caractère soient arrondis, polis, usés. Pour cela, elle reviendra à la charge aussi longtemps qu'il sera nécessaire. Et sous les coups de marteau répétés, il faudra bien que la morgue, la personnalité excessive tombent chez celui-ci ; il faudra que la mollesse, l'apathie, l'indifférence disparaissent chez tel autre ; la dureté, la colère, la fureur chez un troisième. Pour tous, elle aura des procédés différents, variés à l'infini suivant les individus, mais chez tous, elle agira avec efficacité, de façon à faire naître ou à développer la sensibilité la délicatesse, la bonté, la tendresse, à faire sortir des déchirements et des larmes quelque qualité inconnue qui dormait silencieuse au fond de l'être, ou bien telle noblesse nouvelle, parure de l'âme, acquise pour jamais.
Et plus celle-ci monte, grandit, se fait belle, plus la douleur se spiritualise et devient subtile. Aux méchants il faut des épreuves nombreuses, comme sur l'arbre il faut beaucoup de fleurs pour produire quelques fruits. Mais plus l'être humain se perfectionne, plus les fruits de la douleur deviennent admirables en lui. Aux âmes frustes, mal dégrossies, incombent les souffrances physiques, les douleurs violentes ; aux égoïstes, aux avares écherront les pertes de fortune, les noires inquiétudes, les tourments de l'esprit. Puis aux êtres délicats, aux mères, aux amantes, aux épouses, les tortures cachées, les blessures du cœur. Aux nobles penseurs, aux inspirés, la douleur subtile et profonde qui fait jaillir le cri sublime, l'éclair du génie !

Longtemps encore, l'humanité terrestre, ignorante des lois supérieures, inconsciente du devenir et du devoir, aura besoin de la douleur, pour la stimuler dans sa voie, pour transformer ce qui prédomine en elle, les instincts primitifs et grossiers, en sentiments purs et généreux. Longtemps l'homme devra passer par l'initiation amère pour arriver à la connaissance de lui-même et de son but. Il ne songe présentement qu'à appliquer ses facultés et son énergie à combattre la souffrance sur le plan physique, à augmenter le bien-être et la richesse, à rendre plus agréables les conditions de la vie matérielle. Mais ce sera en vain. Les souffrances pourront varier, se déplacer, changer d'aspect, la douleur n'en persistera pas moins, tant que l'égoïsme et l'intérêt régiront les sociétés terrestres, tant que la pensée se détournera des choses profondes, tant que la fleur de l'âme ne sera pas épanouie.
Toutes les doctrines économiques et sociales seront impuissantes à réformer le monde, à pallier les maux de l'Humanité, parce que leur base est trop étroite et qu'elles placent dans l'unique vie présente la raison d'être, le but de cette vie et de tous nos efforts. Pour éteindre le mal social, il faut élever l'âme humaine à la conscience de son rôle, lui faire comprendre que son sort dépend d'elle seule, et que sa félicité sera toujours proportionnelle à l'étendue de ses triomphes sur elle-même et de son dévouement pour les autres.

Doit-on mettre un terme aux épreuves de son prochain quand on le peut, ou faut-il, par respect pour les desseins de Dieu, les laisser suivre leur cours ?
Nous vous avons dit et répété bien souvent que vous êtes sur cette terre d'expiation pour achever vos épreuves, et que tout ce qui vous arrive est une conséquence de vos existences antérieures, l'intérêt de la dette que vous avez à payer. Mais cette pensée provoque chez certaines personnes des réflexions qu'il est nécessaire d'arrêter, car elles pourraient avoir de funestes conséquences.
Quelques-uns pensent que du moment qu'on est sur la terre pour expier, il faut que les épreuves aient leur cours. Il en est même qui vont jusqu'à croire, que non seulement il ne faut rien faire pour les atténuer, mais qu'il faut, au contraire, contribuer à les rendre plus profitables en les rendant plus vives. C'est une grande erreur. Oui, vos épreuves doivent suivre le cours que Dieu leur a tracé, mais connaissez-vous ce cours ? Savez-vous jusqu'à quel point elles doivent aller, et si votre Père miséricordieux n'a pas dit à la souffrance de tel ou tel de vos frères : " Tu n'iras pas plus loin ? " Savez-vous si sa providence ne vous a pas choisi, non comme un instrument de supplice pour aggraver les souffrances du coupable, mais comme le baume de consolation qui doit cicatriser les plaies que sa justice avait ouvertes ? Ne dites donc pas, quand vous voyez un de vos frères frappé : C'est la justice de Dieu, il faut qu'elle ait son cours ; mais dites-vous, au contraire : Voyons quels moyens notre Père miséricordieux a mis en mon pouvoir pour adoucir la souffrance de mon frère. Voyons si mes consolations morales, mon appui matériel, mes conseils, ne pourront pas l'aider à franchir cette épreuve avec plus de force, de patience et de résignation. Voyons même si Dieu n'a pas mis en mes mains le moyen de faire cesser cette souffrance ; s'il ne m'a pas été donné, à moi comme épreuve aussi, comme expiation peut-être, d'arrêter le mal et de le remplacer par la paix.
Aidez-vous donc toujours dans vos épreuves respectives, et ne vous regardez jamais comme des instruments de torture ; cette pensée doit révolter tout homme de cœur, tout spirite surtout ; car le spirite, mieux que tout autre, doit comprendre l'étendue infinie de la bonté de Dieu. Le spirite doit penser que sa vie entière doit être un acte d'amour et de dévouement ; que quoi qu'il fasse pour contrecarrer les décisions du Seigneur, sa justice aura son cours. Il peut donc, sans crainte, faire tous ses efforts pour adoucir l'amertume de l'expiation, mais c'est Dieu seul qui peut l'arrêter ou la prolonger selon qu'il le juge à propos.
N'y aurait-il pas un bien grand orgueil de la part de l'homme, de se croire le droit de retourner, pour ainsi dire, l'arme dans la plaie ? d'augmenter la dose de poison dans la poitrine de celui qui souffre, sous prétexte que telle est son expiation ? Oh ! regardez-vous toujours comme un instrument choisi pour la faire cesser. Résumons-nous ici : vous êtes tous sur la terre pour expier ; mais tous, sans exception, devez faire tous vos efforts pour adoucir l'expiation de vos frères, selon la loi d'amour et de charité.

 Allan Kardec

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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 13:48

 

 

Ecouter la suite sur nous-les-dieux.org: LIVRES_AUDIOS

 

 

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28 janvier 2011 5 28 /01 /janvier /2011 13:48
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